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Reflet

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«  Clair Obscur (Alpha 727), dédié aux lieder allemands avec orchestre, explorait l’antagonisme entre ombre et lumière. Reflet convoque les nuances et transparences des mélodies françaises. Il y a dans le reflet l’idée d’un écho, l’ombre d’un double inquiétant, d’un scintillement pluriel, diffracté… Choc des mirages trompeurs, kaléidoscope des sens et des fulgurances, il entremêle en d’étranges correspondances la partition de nos vies, parées d’or et d’illusions », écrit Sandrine Piau. Berlioz, Gauthier, Britten, Hugo, Verlaine, Baudelaire, Duparc, Koechlin, Ravel, Mallarmé… les rencontres entre ces compositeurs et ces poètes « crée en moi un feu d’artifice de couleurs et de miroitements », conclut la soprano française qui signe ici son 14e enregistrement pour Alpha Classics.

1- Hector Berlioz Les nuits d’été, « Le Spectre de la rose » (poème de Théophile Gautier)
2- Henri Duparc Chanson triste (poème de Jean Lahor)
3- Henri Duparc L’Invitation au voyage (poème de Charles Baudelaire)
4- Charles Koechlin Poèmes d’Edmond Haraucourt, « Pleine eau »
5- Charles Koechlin Poèmes d’Edmond Haraucourt, « Aux temps des Fées »
6- Charles Koechlin Poèmes d’Edmond Haraucourt, « Épiphanie »
7- Claude Debussy Suite bergamasque, « Clair de lune »
8- Maurice Ravel Poèmes de Stéphane Mallarmé, « Soupir »
9- Maurice Ravel Poèmes de Stéphane Mallarmé, « Placet futile »
10- Maurice Ravel Poèmes de Stéphane Mallarmé, « Surgi de la croupe et du bond »
11- Claude Debussy Epigraphes antiques, « Pour remercier la pluie au matin »
12- Benjamin Britten Quatre chansons françaises, « Nuits de juin » (poème de Victor Hugo)
13- Benjamin Britten Quatre chansons françaises, « L’Enfance » (poème de Victor Hugo)
14- Benjamin Britten Quatre chansons françaises, « Sagesse » (poème de Paul Verlaine)
15- Benjamin Britten Quatre chansons françaises, « Chanson d’automne » (poème de Paul Verlaine)

Parution le 12 janvier 2024 chez Alpha Classics

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Opéra Magazine « Du naturel de la diction à l’intelligence du texte et à l’intuition du tempo juste, tout est là, Jean-François Verdier ajoutant mille délicatesses dans une prestation orchestrale splendide, qui est tout autre chose qu’un accompagnement. »

Diapason « Les plans se mêlent harmonieusement et des textures d’orchestre chaleureuses soutiennent une voix détourée avec précision qui illumine la scène sonore. »

Scherzo « Al escuchar a la soprano francesa, me vienen dos reflexiones a la cabeza: la primera, que es asombrosa la frescura de su voz tras casi cuatro decenios de carrera; la segunda, que sus versiones tienen la facultad de convencer de que son LA versión. Se puede hacer diferente, pero no mejor. »

Classica « Une fois encore, l’art de Sandrine Piau dénote une maturité absolue. […] Le sens du mot suppose un travail de la langue très précis, qui trouve son pendant dans le travail de l’Orchestre Victor Hugo, très délicatement conduit par Jean-François Verdier.

Gramophone « The delicacy of Verdier’s accompaniments with Besançon’s Orchestre Victor Hugo is particularly essential to the entrancing effect made by the well-chosen Koechlin songs »

The Times « Nothing could be more beguiling than the opening track, Le Spectre de la rose from Berlioz’s Les Nuits d’été … Diaphanous beauties continue in two songs by Duparc and Ravel’s ever intriguing Mallarmé settings. »

The Guardian « … every one of Piau’s performances is a gem: every phrase is elegantly turned and inimitably coloured, every word is savoured and crystal clear. »

La Voix du Nord « Après le magnifique Clair Obscur de l’an passé dédié aux Lieder allemands avec orchestre, Sandrine Piau propose avec Reflet toutes les nuances de la mélodie française. »

Première Loge « La subtile direction de Jean-François Verdier parachève la qualité de l’album par la contribution d’esthétique chambriste de l’Orchestre Victor Hugo. Tous les instrumentistes font respirer leurs soli comme autant de halos nuancés dans lesquels se love la voix. »

Crescendo Magazine « L’Orchestre Victor Hugo de Bourgogne Franche-Comté et son chef Jean-François Verdier cisèlent ce parcours avec un raffinement de chaque instant, offrant au chant un précieux écrin. »

Télérama « On retrouve l’Orchestre Victor Hugo et son chef, Jean-François Verdier, qui prennent par deux fois leur indépendance avec des interludes debussystes. Et rappellent le reste du temps à quel point ils savent accompagner la voix chantée, comme écrin et/ou comme partenaire. »