Sébastien Hurtaud est un violoncelliste français né à la Rochelle dans une famille de mélomane et d’un frère ténor lyrique. Vibrer, transmettre, voyager, créer sont au coeur de la carrière du jeune violoncelliste. Soliste, chambriste l’interprète parcourt le monde invité par de grands orchestres et festivals et partage également la scène avec sa femme pianiste Paméla Hurtado en duo.
Formé au conservatoire de Paris dans la classe de JM Gamard et de Michel Strauss puis au Royal Northern College of Music avec Karine Georgian son jeu s’inspire de ces deux grandes écoles du violoncelle.
Influencé par le monde du lyrique, c’est à l’opéra de la Monnaie qu’il fait ces premières armes comme violoncelle solo invité mais très rapidement se tourne vers une carrière de soliste.
Pour n’en citer que quelques unes, ses dernières interprétations avec de prestigieux orchestres lui permette de rencontrer de nouveaux publiques dans de nombreux pays et d’affirmer une carrière en pleine expansion. Nous avons pu l’entendre entre autre dans Don Quichotte de Richard Strauss avec l’orchestre de Katowice, le concerto de Gulda à La Philharmonie de Bratislava, le concerto de Dvorak avec l’orchestre de Metz, le concerto d’Elgar avec l’orchestre National de Nouvelle-Zélande, le concerto Militaire de Jacques Offenbach avec l’orchestre de Bretagne, les concertos de Boccherini avec l’orchestre de Chambre de Panama City, l’orchestre de La Garde Républicaine aux Invalides, etc…
Lauréat de grands concours internationaux Naumburg Foundation à New-York, Aldo Parisot, Sébastien Hurtaud est le seul français à avoir remporté le prestigieux concours Adam cello competition en Nouvelle-Zélande. Il rencontre alors son mentor, le grand chef d’orchestre Werner-Andreas Albert allemand avec qui il jouera notamment le concerto de Schostakovich n1 op.107.
La critique ne tarit pas d’éloge sur l’artiste français :
“Un Jeu tellement expressif” (Forbes), “Une telle passion dans son jeu” (Gramophone), “Un style puissant” (BBC Mag), “Elegant et conduit” (Strad Mag), “Sébastien Hurtaud saisit l’œuvre à pleines mains, comme le faisait autrefois André Navarra, un grand son , ample, profond, qui dit autant qu’il chante” (Artamag), “La Virtuosité d’un Feuerman et l’âme d’un Rostropovich” (Fanfare Magazine).